Ce vendredi paraît "Noir comme la neige", le premier livre de Martin DEMOULIN. Un livre introspectif et intense, qui met en lumière les ravages de la drogue, la puissance de l'amour, mais aussi les différentes façons dont sont vécus les deuils dans une famille.

Noir comme la neige
Nous vous avions présenté Martin DEMOULIN dernièrement dans un précédent article. Une personnalité attachante, à la fois simple et complexe, comme en témoigne son parcours sinueux.

C'est celui-ci qui est présenté dans son livre "Noir comme la neige" qui paraît ce vendredi. Dans "Noir comme la neige", Martin DEMOULIN exprime les problèmes liés à la drogue tout en décrivant le manque et les sensations avec une prose poétique, presque lyrique. Le livre est court (150 pages), mais empli d'émotions.

Tout au long de cette confession, le rapport à la drogue est vécu comme une histoire d'amour, qui est mise en parallèle d'un dialogue permanent avec sa sœur, partie trop tôt et trop brutalement.

Les sensations et ses relations pendant la cure sont bien analysées et exprimées en toute franchise, sans excès.

Difficile de qualifier le texte de "bijou" tant le thème de la drogue ne s'y prête pas, mais son contenu, vraiment très fort, ne pourra que toucher les lecteurs, quel que soit leur âge.

"Noir comme la neige" paraît aux formats papier comme numériques (formats ePub, Mobi/Kindle et PDF), dans tous les réseaux de librairies via nos distributeurs Hachette Livre (livre imprimé) et Immateriel (eBooks).

Conformément à nos habitudes, deux livres papier et deux livres numériques sont également à gagner cette semaine sur nos réseaux sociaux Facebook et Twitter, rendez-vous donc sur nos pages pour en savoir plus !

Résumé

Je suis sans nouvelles de Blanche depuis sept jours.

À Saint-Barnabé, c’est comme ça, tout le monde compte les jours. Chacun d’entre nous tient son propre carnet de bord. Les anciens l’exhibent fièrement tandis que les nouveaux tout juste débarqués peinent à aligner deux mots sans trembler. Certains à cause de leur consommation excessive de la veille. C’est un rituel auquel peu d’éclopés échappent. D’autres à cause du manque. Ceux-là sont plus rares. D’après les statistiques, la plupart débarquent chargés comme des mules.

Et d’après ce que je peux observer, les chiffres ne mentent pas. Devant mes yeux défile une triste réalité.

Noir comme la neige