Jean-Loup IZAMBERT, l'auteur de "56 : L'État français complice de groupes criminels", dévoile les manipulations des dirigeants politiques français et américains dans les conflits du Moyen-Orient dans le cadre d'une longue et passionnante interview réalisée par Pierre CASSEN pour le site Riposte Laïque.

Alors que les principaux médias français ferment les yeux sur un livre qui met notamment à mal leurs connivences avec le gouvernement français, un site Internet français dénonce l'omerta dont le livre fait l'objet et consacre une très longue interview à Jean-Loup IZAMBERT, il s'agit de Riposte Laïque.

Réalisée par son rédacteur, Pierre CASSEN, l'interview de Jean-Loup Izambert dénonce de nombreuses manipulations de nos dirigeants et haut-fonctionnaires français dans le cadre des conflits du Moyen-Orient, et leurs procédés anti-démocratiques.

 

Pour en savoir plus, rendez-vous directement sur le site de Riposte Laïque pour lire l'interview complète :

http://ripostelaique.com/jaccuse-56-dirigeants-francais-davoir-pactise-terroristes-islamistes.html

 

Extrait :

(…) Cette interview du journaliste indépendant Jean-Loup Izambert par Pierre Cassen est exceptionnelle. D'abord pour sa longueur, qui dépasse largement les 10.000 signes habituellement octroyés aux contributeurs. Mais surtout par son contenu. L'auteur de « 56 », son dernier ouvrage, revient sur le rôle des Etats-Unis et de la France dans la déstabilisation de la Syrie. Il montre l'ampleur des mensonges d'Etat, relayés par une presse qu'il estime totalement achetée par le pouvoir, visant à faire passer Bachar pour un dictateur. Il nous donne une explication intéressante quant à l'invasion de l'Europe, et donc de la France, par de soi-disants migrants, et nous montre comment les djihadistes ont infiltré les cortèges de réfugiés. Qu'on partage ou pas l'intégralité des écrits de Jean-Loup Izambert ne change rien, tant la richesse de ses propos et de ses analyses nous oblige à des réflexions qui nous aident à mieux comprendre la réalité du monde dans lequel nous vivons. A noter qu'à ce jour, aucun journal n'a encore écrit une ligne sur ce livre... (…)

 

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